Commencé le programme structuré le 4 février dernier, il y a un peu plus d'une semaine.
Difficile pour moi de faire les séances de vélo : pas de trainner potable, moment de la journée pas trop pratique pour moi, j'ahïe le spinning (été à une séance lundi dernier et c'est confirmé).
Pour la natation, je suis un mix d'entraînements avec mon club de maîtres et des entraînements du programme. Ceux des maîtres sont pas mal plus difficiles, alors j'y vais à fond dans ceux-là. De toutes façons, ça me fera une super bonne base. Les maîtres sont jusqu'à fin mars. Après, je reprends le programme normal. Ça me donnera l'énergie et le temps pour le vélo.
J'adapte aussi, selon mes humeurs. Par exemple, s'il fait beau et que j'ai le goût de skier, j'y vais, quelque soit le plan. Ou encore, les dimanches, je sors courir avec mon groupe, les Bleu(e)s. c'est meilleur pour mon moral.
Je me retrouve donc dans la position suivante :
- En natation : je vais progresser et être passablement fort (selon mes standards à moi!)
- En vélo, je vais avoir des croutes à manger, mais ça va aller. Dès que le printemps se pointe, je sors mes roues!
- En course, je devrait être assez fort (toujours selon mes standards!), je vais toutefois devoir gérer mes peaks, à cause du demi de la Banque Scotia fin-avril.
Ce qui m'a toutefois le plus surpris, ce sont les impacts physiologiques que cet accroissement de volume d'entraînement a eu sur moi.
- Impacts sur mon sommeil. Je savais que j'aurais besoin de plus de repos, mais jamais autant que ça! Je me couche vers 10h - 10h30 plutôt qu'à 11h - 11h30.
- J'ai eu une nuit complètement blanche et une couple de nuits avec peu de sommeil. Je vais voir comment ça progresse de ce côté.
- Mon apéttit a changé passablement. Mes goûts sont différents, je mange moins, j'ai parfois des soifs incroyables, etc.
Voici donc où j'en suis dans ma progression vers mon premier demi-Ironman.